Le Livre, tome I, p. 235-259

Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 235.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 235 [259]. Source : Internet Archive.

Polybe sur les Républiques, les Pandectes et le Code de Justinien. « On est surpris de ne pas voir Homère, Virgile et les Vies de Plutarque figurer dans cette liste[235.1]. »

Vaugelas (1585-1630) faisait très grand cas du style de l’Histoire romaine de Coeffeteau. Il délaissa ensuite Coeffeteau et lui préféra les traductions de d’Ablancourt, surtout celle d’Arrien, qui lui servit de modèle pour sa traduction de Quinte-Curce.

Le savant médecin Samuel Sorbière (1615-1670) mettait les Offices de Cicéron au-dessus de tous les livres, excepté l’Écriture sainte. Pour les modernes, il les plaçait dans l’ordre suivant : Charron, Montaigne, Balzac et La Mothe-Le Vayer. « Ces quatre messieurs, disait-il, font presque toute ma bibliothèque. »

Gui Patin (1601-1672) dit, dans une de ses lettres[235.2] : « L’Histoire de Pline est un des plus beaux livres du monde ; c’est pourquoi il a été nommé la Bibliothèque des pauvres. Si l’on met Aristote avec lui, c’est une bibliothèque presque complète. Si l’on y

[I.259.235]
  1.  Peignot, op. cit., t. I, pp. 117-118.  ↩
  2.  Datée du 12 septembre 1645. (Gui Patin, Lettres choisie, p. 20. Paris, Jean Petit, 1688.)  ↩

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