Le Livre, tome II, p. 254-270

Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 254.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 254 [270]. Source : Internet Archive.

« Le désir de conserver à la France une partie de ses richesses littéraires lui avait fait, dès les premières années de la Révolution, former une bibliothèque qui s’accrut successivement, au point d’être, après celle du roi, la plus nombreuse de Paris, a écrit un de ses bio­graphes[254.1]. Si, comme on la dit, le goût d’acheter des livres était devenu, dans Boulard, une sorte de manie, on conviendra du moins qu’il n’en est pas de plus respectable. Mais on a rencontré plus juste en attribuant les acquisitions qu’il faisait chaque jour sur les quais, dans les dernières années de sa vie, au désir qu’avait cet excellent homme d’aider, par des encouragements pécuniaires, la

[II.270.254]
  1.  Michaud, op. cit., art. Boulard.  ↩

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