Le Livre, tome III, p. 046-060

Albert Cim, Le Livre, t. III, p. 46.
Albert Cim, Le Livre, t. III, p. 46 [060]. Source : Internet Archive.

et d’un grain assez grossier, qui, pour l’impression comme pour l’écriture, exigeaient l’emploi de caractères de dimensions assez gran­des[046.1]. On se sert maintenant, pour ainsi dire exclusivement, de papiers faits de fibres végétales diverses, mais dont la caractéristique est de présenter une surface extrêmement lisse, où la plume glisse, où l’impression se fait en petits caractères. Or, qu’on regarde ces papiers perfectionnés, et l’on constatera qu’il se produit souvent à leur surface des reflets intenses…, toute une série de reflets, d’ombres et de lumière, qui fatiguent considérablement l’œil. »

La constatation n’est que trop facile et que trop exacte, et il y a là un fait digne au plus haut point d’appeler l’attention de tous ceux qui lisent, et de les mettre soigneusement en garde.

Certains bibliographes ont reproché aux belles éditions de Firmin Didot d’avoir, par leur blancheur, « rendu myopes nos pères de 1830[046.2] » : que ne dira-

[III.060.046]
  1.  Pas toujours : voyez les elzeviers. (A. C.)  ↩
  2.  L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, 10 décembre 1898, col. 808-809.  ↩

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